
Chanter pour la cause du cancer@(headingTag)>
Après une prestation surprise dans le métro de Montréal en 2024, Amélie Beyries a offert le 27 mars 2025 un concert intime au CHUM pour soutenir la cause du cancer.
Alternant les chansons et les souvenirs liés à la maladie, et plus tard en allant à la rencontre des patients et du personnel soignant en chimiothérapie au Centre intégré de cancérologie du CHUM, Amélie a lancé le Mois de la jonquille dans une vague d’espoir et de solidarité.
L’expérience de cancer@(headingTag)>
En 2008, Amélie reçoit un diagnostic de cancer du sein qui l’arrache d’un seul coup à sa vie active. Elle subit une mastectomie partielle puis 7 mois de chimiothérapie. Le cancer réapparait un an et demi plus tard et elle est opérée.
Depuis ce jour, Amélie n’a plus aucun signe de cancer et sa vie a pris un nouveau tournant avec la musique. « C’est à travers elle que j’ai commencé à me retrouver. Aujourd’hui, la musique est un moyen puissant de connexion avec les autres, et c’est pourquoi il est essentiel pour moi d’utiliser ma voix pour soutenir cette cause.
Amélie souligne l’impact des avancées en recherche dont elle a elle-même bénéficié et auxquelles elle veut contribuer à son tour en s’impliquant dans cette collecte de fonds.
En ce Mois de la jonquille, faites fleurir l’espoir@(headingTag)>
Chaque printemps, depuis 70 ans, la Société canadienne du cancer invite les gens d’un bout à l’autre du pays à faire partie d’une puissante force collective qui change l’avenir du cancer.
D’immenses progrès ont été réalisés dans le domaine du cancer. En 1938, une personne sur quatre survivait au cancer. Aujourd’hui, près de 7 personnes sur 10 survivent à cette maladie. Grâce aux dons généreux recueillis lors du Mois de la jonquille, la Société canadienne du cancer finance des projets de recherche qui sauvent et améliorent des vies. Au Québec, elle a investi 72,6 millions $ dans la recherche et l’innovation au cours des 10 dernières années.
Or, il reste encore beaucoup à faire. « Près de la moitié des personnes au Canada vont recevoir un diagnostic de cancer au cours de leur vie, dit BEYRIES. Et je pense que si l’on n’est pas touché personnellement, il y aura quelqu’un autour de nous qui le sera. »
Ensemble, nous pouvons aider les personnes atteintes de cancer et transformer leur avenir en investissant dans la recherche.

J’ai envie de m’impliquer dans ce grand mouvement, d’amasser des fonds pour la recherche, pour soutenir les gens qui sont atteints de cancer et leurs familles