Portrait

BEYRIES fait fleurir l’espoir au Québec

BEYRIES fait fleurir l’espoir
 
[Deux personnes marchent dans un corridor d’hôpital et la caméra est derrière elles. L’une d’elles tient un bouquet de jonquilles.]

BEYRIES : J’ai été moi-même atteinte de cancer à 29 ans, donc très tôt dans ma vie.

[Quatre personnes souriantes marchent dans un couloir. Deux d’entre elles tiennent des bouquets de jonquilles.]

Mots à l’écran : BEYRIES fait fleurir l’espoir

[BEYRIES tient un bouquet de jonquilles et se dirige vers une femme en chimiothérapie.]

[BEYRIES donne le bouquet de jonquilles à la femme. La femme sourit en prenant les fleurs.] 

J’ai bénéficié d’un protocole de recherche. Moi, j’aime croire que, à ma façon, j’ai participé à cette recherche-là, à ce protocole-là.   

Mots à l’écran : Amélie Beyries. Ambassadrice du Mois de la jonquille. Auteure-compositrice-interprète.

La maladie m’a amenée à revenir à cette intimité-là que j’ai avec la musique.

[Une femme place des jonquilles sur une scène de spectacle. À l’arrière, deux musiciennes font leur test de son.]

[BEYRIES est sur scène en train de faire son test de son. Elle joue de la guitare et chante dans un micro sous le regard d’un technicien de son.]

Donc, je me sens plus solide aussi pour aider et soutenir. Parce que, il faut être soi-même bien arrimé, mettons, pour être capable d’aider les autres. Donc là, je me sens forte de cette expérience-là.

[Une femme est assise dans un fauteuil de traitement et reçoit une chimiothérapie. Un homme est assis à côté d’elle. BEYRIES parle avec le couple tout en s’accroupissant et en tenant la main de la femme.]

J’ai envie de m’impliquer dans ce grand mouvement où on lève des fonds pour la recherche.

[BEYRIES chante et joue du piano sur scène devant un public assis. Des jonquilles sont disposées sur la scène.]

Mots à l’écran : Jean-Sébastien Boudreault. Directeur général, Partenariat d’entreprise et communautaires, Québec. Société canadienne du cancer.

Jean-Sébastien Boudreault : La campagne du Mois de la jonquille est une collecte de fonds qui nous aident à financer des projets de recherche de calibre international, à faire de la défense d’intérêt public pour changer les politiques de santé publique et à soutenir les gens touchés par le cancer.

[Une animation d’une jonquille en train de fleurir et de s’ouvrir apparaît.]

Mots à l’écran : Faites fleurir l’espoir

J’ai envie de dire que si tu as du temps, si tu as de l’argent. Je pense que tout le monde peut un peu mettre l’épaule à la roue.

Mots à l’écran : Donnez maintenant. cancer.ca/jonquille

[Le logo de la Société canadienne du cancer et les mots « Ça prend une société » apparaissent à l’écran.]

Ayant reçu un diagnostic de cancer du sein à 29 ans, l’auteure-compositrice-interprète Amélie Beyries, connue sous le nom de BEYRIES, partage aujourd’hui son talent pour appuyer la Société canadienne du cancer lors de sa campagne la plus emblématique en soutien à la recherche et aux personnes touchées par le cancer au Québec et partout au Canada.
BEYRIES holding a guitar and standing on a stage decorated with daffodils.
BEYRIES en concert au CHUM, le 27 mars 2025, pour le lancement de la campagne de la Jonquille au Québec.

Chanter pour la cause du cancer

Après une prestation surprise dans le métro de Montréal en 2024, Amélie Beyries a offert le 27 mars 2025 un concert intime au CHUM pour soutenir la cause du cancer.

Alternant les chansons et les souvenirs liés à la maladie, et plus tard en allant à la rencontre des patients et du personnel soignant en chimiothérapie au Centre intégré de cancérologie du CHUM, Amélie a lancé le Mois de la jonquille dans une vague d’espoir et de solidarité.

L’expérience de cancer

En 2008, Amélie reçoit un diagnostic de cancer du sein qui l’arrache d’un seul coup à sa vie active. Elle subit une mastectomie partielle puis 7 mois de chimiothérapie. Le cancer réapparait un an et demi plus tard et elle est opérée.

Depuis ce jour, Amélie n’a plus aucun signe de cancer et sa vie a pris un nouveau tournant avec la musique.  « C’est à travers elle que j’ai commencé à me retrouver. Aujourd’hui, la musique est un moyen puissant de connexion avec les autres, et c’est pourquoi il est essentiel pour moi d’utiliser ma voix pour soutenir cette cause.

Amélie souligne l’impact des avancées en recherche dont elle a elle-même bénéficié et auxquelles elle veut contribuer à son tour en s’impliquant dans cette collecte de fonds.

En ce Mois de la jonquille, faites fleurir l’espoir

Chaque printemps, depuis 70 ans, la Société canadienne du cancer invite les gens d’un bout à l’autre du pays à faire partie d’une puissante force collective qui change l’avenir du cancer.

D’immenses progrès ont été réalisés dans le domaine du cancer. En 1938, une personne sur quatre survivait au cancer. Aujourd’hui, près de 7 personnes sur 10 survivent à cette maladie. Grâce aux dons généreux recueillis lors du Mois de la jonquille, la Société canadienne du cancer finance des projets de recherche qui sauvent et améliorent des vies. Au Québec, elle a investi 72,6 millions $ dans la recherche et l’innovation au cours des 10 dernières années.

Or, il reste encore beaucoup à faire. « Près de la moitié des personnes au Canada vont recevoir un diagnostic de cancer au cours de leur vie, dit BEYRIES. Et je pense que si l’on n’est pas touché personnellement, il y aura quelqu’un autour de nous qui le sera. »

Ensemble, nous pouvons aider les personnes atteintes de cancer et transformer leur avenir en investissant dans la recherche.

BEYRIES holding a guitar and standing on a stage decorated with daffodils.
J’ai envie de m’impliquer dans ce grand mouvement, d’amasser des fonds pour la recherche, pour soutenir les gens qui sont atteints de cancer et leurs familles
Amélie Beyries, ambassadrice québécoise du Mois de la jonquille