La chercheuse Rama Khokha, Ph. D., s’efforce de réduire les risques de développer un cancer du sein.
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Dr Rama Khokha
Les femmes présentant un risque élevé de développer un cancer du sein subissent souvent l’ablation de leurs seins, de leurs ovaires et de leurs trompes de Fallope. Bien que ces interventions constituent leurs meilleures options pour atténuer les risques, elles peuvent également leur causer des inquiétudes et avoir un impact important sur leur santé émotionnelle et physique.
Mais qu’arriverait-il si on offrait à ces personnes à risque élevé de meilleures options, moins invasives? Grâce à votre générosité, Rama Khokha, Ph. D., chercheuse financée par la SCC, dirige une étude innovante qui examine des façons moins invasives de réduire les risques de développer un cancer du sein.
En étudiant les cellules à l’origine du cancer du sein, Rama Khokha et son équipe examinent de nouvelles caractéristiques biologiques qui différencient les cancers du seins agressifs et à risque élevé des tumeurs à faible risque.
Grâce à cette recherche, ces chercheurs pourront aussi tester des stratégies de traitement visant à réduire la probabilité de développer un cancer du sein chez les personnes présentant un risque plus élevé.
« Mon équipe et moi vous sommes vraiment reconnaissants de nous permettre de faire progresser nos recherches, déclare Rama Khokha. Ensemble, nous trouvons de nouvelles et de meilleures façons de traiter le cancer et d’arrêter sa croissance ainsi que sa propagation, avant même qu’il n’apparaisse. »
Mais qu’arriverait-il si on offrait à ces personnes à risque élevé de meilleures options, moins invasives? Grâce à votre générosité, Rama Khokha, Ph. D., chercheuse financée par la SCC, dirige une étude innovante qui examine des façons moins invasives de réduire les risques de développer un cancer du sein.
En étudiant les cellules à l’origine du cancer du sein, Rama Khokha et son équipe examinent de nouvelles caractéristiques biologiques qui différencient les cancers du seins agressifs et à risque élevé des tumeurs à faible risque.
Grâce à cette recherche, ces chercheurs pourront aussi tester des stratégies de traitement visant à réduire la probabilité de développer un cancer du sein chez les personnes présentant un risque plus élevé.
« Mon équipe et moi vous sommes vraiment reconnaissants de nous permettre de faire progresser nos recherches, déclare Rama Khokha. Ensemble, nous trouvons de nouvelles et de meilleures façons de traiter le cancer et d’arrêter sa croissance ainsi que sa propagation, avant même qu’il n’apparaisse. »